Article écrit le : 25 mars 2013
EXTRAIT 1 DE L’EBOOK « L’ALIMENTATION PALÉOLITHIQUE
Ci-après un extrait qui parle de l’agression de l’alimentation moderne sur la paroi de l’intestin grêle. C’est une des clés de l’auto-intoxination !
2. Rappels physiologiques
2.1. L’intestin grêle : un organe clef.
La muqueuse du grêle sert de barrière entre le milieu intérieur de l’organisme humain et de dangereux facteurs de l’environnement : bactéries, aliments nocifs et/ou aliments mal digérés.
Chez certains individus, sans doute la plupart, la barrière joue mal son rôle et se laisse traverser par trop de macromolécules. Certaines de ces substances sont nocives et leur accumulation va entraîner un encrassage pouvant générer des dysfonctionnement et/ou pathologies.
L’agression par les toxines alimentaires, les microbes, les peptides issus d’une mauvaise alimentation (non ancestrale) et/ou d’une mauvaise digestion entraîne des lésions (des entérocytes) et une perméabilité excessive de la paroi intestinale.
La flore intestinale est saprophyte, c’est-à-dire vivant en symbiose dans la lumière digestive sans nuire à l’homme et même en lui rendant service.
Ces bactéries se nourrissent de nutriments, c’est-à-dire des produits résultant de la digestion des aliments. Elles vivent donc « aux crochets » de leur hôte, mais exercent en revanche certaines actions bénéfiques. Elles complètent la digestion de certains aliments, dégradent les pigments biliaires, participent à la fabrication de la vitamine K, freinent le développement des levures et des champignons.
C’est pour ces raisons qu’il est très important de prendre régulièrement des pré et probiotiques (souvent associés) pour réensemencer la flore intestinale.
Le « talon d’Achille » de la muqueuse est constitué par les jonctions reliant les entérocytes qui peuvent se distendre par les macromolécules forçant le passage.
Des déchets bactériens et alimentaires en quantité excessive vont alors franchir la paroi distendue de l’intestin grêle et pénétrer dans la circulation générale. Le corps va engager divers mécanismes physiologiques pour tenter de les détruire et/ou les neutraliser et/ou les éliminer. Ces processus ont pour conséquence de fatiguer le corps, l’organisme, voire le fragiliser. Les macromolécules ayant échappé à ces mécanismes sont stockés dans le tissu adipeux, interstitiel, etc. »
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